sonroyaume. Pendant ce temps, Renart, à qui le roi a confié la protection du royaume et de la reine, parvient, au moyen d’une fausse dépêche7, à prendre la place de Noble: il est fait empereur et épouse Fière! À son retour de la guerre contre les Païens, Noble doit mettre le siège devant son propre château; Renart, désespérant de Le prince Jean, alors Dauphin de France, à la Nouvelle-Orléans, lors d’un voyage officiel aux Etats-Unis Fondation de la Nouvelle-Orléans, le 25 août 1718 218 Avant Jésus-Christ Hannibal est sur le Rhône Après avoir franchi les Pyrénées, et avant de franchir les Alpes, Hannibal franchit le Rhône, très probablement entre Arles et Avignon. S’agissant d’un événement aussi lointain, on n’aura jamais de certitude absolue sur telle ou telle date précise, mais le jour du 25 août est communément retenu par plusieurs spécialistes pour le franchissement du fleuve. Il emmène avec lui cinquante mille hommes, neuf mille chevaux et trente-sept éléphants de guerre, sans compter ses impedimenta Polybe, Sénèque, Tite Live, Varron et, plus généralement, l’ensemble du monde antique ont considéré cette marche d’Hannibal comme l’un des exploits les plus fascinants de l’Histoire. Cet épisode, qui frappa l’imagination des anciens, fut considéré comme un exploit Herculien parce que c’était la première fois qu’une armée entière le réalisait. Encore faut-il préciser qu’Hannibal, parti de Carthagène avec hommes avait déjà perdu la moitié de ses effectifs en arrivant au Rhône, et qu’il allait en perdre encore la moitié puisque, sur les hommes qui franchissent le Rhône avec lui, seuls entreront en Italie. Hannibal dans les Alpes HANNIBAL Si le lieu de franchissement du Rhône est communément admis, c’est après, pour le franchissement des Alpes, qu’aucune certitude n’existe. 383 Assassinat de l’empereur Gratien Gratien fut le premier empereur à refuser de porter le titre de Pontifex maximus. Déjà, en 378, il avait fait retirer de la salle de réunion du Sénat la Statue de la Victoire, symbole païen, malgré les protestations énergiques des vieux romains ». 1. De Michel Mourre …Il nomma Théodose, le meilleur de ses généraux, empereur d’Orient janvier 379. Sous l’influence de Saint Ambroise et de Théodose, il combattit le paganisme, supprima les collèges de prêtres païens 382 et, malgré la protestation pathétique de Symmaque, fit enlever du Sénat la statue de la Victoire. Résidant le plus souvent à Trèves ci contre, la Porta nigra, ndlr, il favorisa les officiers germains à son service et s’aliéna ainsi une partie des légions… » 2. De l’Encyclopedia Universalis Empereur romain né en 359 à Sirmium, province de Pannonie auj. Sremska Mitrovica, en Serbie, mort le 25 août 383 à Lugdunum auj. Lyon. À l’âge de huit ans, Gratien Flavius Gratianus Augustus est proclamé auguste par son père, Valentinien 1er, qui espère assurer sa succession au trône sans accroc. Gratien partage ainsi le pouvoir avec son père, qui règne sur l’Occident de 364 à 375 et son oncle Valens, qui règne sur l’Orient de 364 à 378. L’éducation du jeune garçon est confiée au poète Ausone, qui est nommé préfet du prétoire. A la mort de Valentinien 1er, le 17 novembre 375, Gratien règne seul sur l’Occident. Quelque temps plus tard, il nomme auguste son demi-frère de quatre ans, proclamé empereur Valentinien II par les légions d’Illyrie à Aquincum près de Budapest. Sous l’influence d’Ausone, Gratien apprend à faire preuve de clémence et à se rendre populaire. Il consacre une grande partie de son règne à repousser de Gaule les tribus venues d’outre-Rhin. En 378, ses troupes arrivent trop tard à la bataille d’Andrinople, où Valens combat les Goths et trouve la mort. En 379, Gratien nomme Théodose empereur d’Orient ci contre, Musée du Louvre, ndlr. En 381, Magnus Clemens Maximus, dit Maxime, se fait proclamer empereur en Bretagne. Lorsqu’il envahit la Gaule en 383, Gratien essaie immédiatement de lui barrer la route. Déserté par ses troupes, ce dernier cherche à se réfugier dans les régions transalpines mais il est assassiné à Lugdunum par le Goth Andragathius, le maître de cavalerie de Maxime. Pendant la dernière partie de son règne, Gratien subit fortement l’influence de saint Ambroise • par considération pour l’Église chrétienne, il est le premier empereur romain à ne pas mentionner les mots pontifex maximus prêtre suprême » dans son titre; • de même, il fait enlever du sénat de Rome la Statue de la Victoire, symbole du paganisme, malgré l’opposition d’une délégation de sénateurs dirigée par Symmaque Quintus Aurelius Symmachus. Monnaie d’or à l’effigie de Gratien avers, à gauche, et revers, à droite 1270 Mort de Louis IX Celui qui deviendra Saint Louis s’éteint à 56 ans, devant Tunis, emporté par la peste. La mort de Saint Louis, miniature de Jean Fouquet, XVème siècle, Bibliothèque Nationale. Saint Louis, premier roi de France à avoir été fait prisonnier sur le champ de bataille voir l’éphéméride du 11 février, est donc aussi le premier roi de France mort à l’étranger voir l’éphéméride du 8 avril • Jean de Joinville rapporte, dans sa Vie de Saint Louis, les recommandations que le souverain mourant livre à son fils, Philippe III ci dessous Beau fils, la première chose que je t’enseigne, c’est de disposer ton cœur à aimer Dieu ; car sans cela, nul ne peut être sauvé. Maintiens les bonnes coutumes de ton royaume et abaisse les mauvaises. Ne convoite pas sur ton peuple, ne le charge pas trop d’impôts ni de tailles, si ce n’est par grande nécessité. Prends soin d’avoir en ta compagnie des gens, prud’hommes et loyaux, qui ne soient pas plein de convoitise, qu’ils soient religieux ou séculiers, et parle-leur souvent… Garde-toi de faire la guerre contre les chrétiens, sans grand conseil ; et s’il te faut la faire, protège la sainte Église et ceux qui n’y sont pour rien… Que Dieu te donne la grâce de faire toujours sa volonté, si bien qu’il soit honoré par toi et que toi et nous puissions, après cette vie mortelle, être ensemble avec lui et le louer sans fin. Amen. » Devenu roi, Philippe III porta lui-même le cercueil de son père jusqu’à la basilique de Saint-Denis; s’arrêtant sept fois pour se reposer, et faisant élever, à chaque fois, un Mont-joie », il est ainsi à l’origine de ces sept monticule sculptés, devant lesquels s’arrêteront, jusqu’à la sinistre révolution qui les détruisit, tous les cortèges funèbres royaux voir l’éphéméride du 12 août. • Dans son Essai sur les Moeurs, Voltaire écrira ceci sur lui …Sa piété qui était celle d’un anachorète ne lui ôta aucune vertu de roi… Il sut accorder une politique profonde avec une justice exacte et peut-être est-il le seul souverain qui mérite cette louange prudent et ferme dans le conseil, intrépide dans les combats sans être emporté, compatissant comme s’il n’avait jamais été que malheureux. Il n’est pas donné à l’homme de porter plus loin la vertu. » • Le pape Benoît XVI l’a évoqué dans son Angélus du dimanche 29 août 2010 …Saint Louis IX, roi de France – dont on a fêté la mémoire mercredi dernier – a mis en pratique ce qui est écrit dans le Livre du Siracide Plus tu es grand, plus il faut t’abaisser pour trouver grâce devant le Seigneur » 3, 18. Il écrivait ainsi dans son Testament spirituel à son fils » Si le Seigneur te donne quelque prospérité, non seulement tu devras le remercier humblement, mais prends garde de ne pas devenir pire par vaine gloire ou d’une autre façon, prends aussi garde de ne pas t’opposer à Dieu ou de l’offenser par ses propres dons » Acta Sanctorum Augusti 5 [1868], 546… » 1664 Aux origines du mot Salon » L’Académie royale de peinture et de sculpture fut créée à Paris en 1648. Pour en faire partie un artiste devait soumettre une œuvre appelée morceau de réception », qui devenait la propriété de l’Académie. Celle-ci présentait les œuvres au public de manière irrégulière à l’occasion d’expositions. En 1725, l’exposition eut lieu au Salon carré du Louvre, puis s’y déroula régulièrement à partir de 1737 le succès étant immense, l’habitude fut alors prise de parler du Salon officiel » comme lieu de présentation au public des œuvres des Académiciens. Ensuite, et par extension, n’importe quelle manifestation, dans n’importe quel domaine, fut organisée sous le nom, archi-employé aujourd’hui, de Salon… » 1718 Fondation de la Nouvelle-Orléans Des colons français fondent à l’embouchure du Mississipi la ville de la Nouvelle-Orléans, baptisée ainsi en l’honneur du duc d’Orléans, qui exerce alors la Régence pendant la minorité de Louis XV. Elle deviendra la capitale de la colonie de Louisiane. Cédée en 1762 à l’Espagne, qui la restituera à la France en 1800, elle sera vendue aux États-Unis en 1803 par le premier consul, Napoléon Bonaparte, avec le reste de la Louisiane éphéméride du 30 avril. Dans notre album L’aventure France racontée par les cartes, voir la photo Rêves d’Empire aux Amériques I/III ». et les deux suivantes 1820 Mort de Précy De Michel Mourre, Dictionnaire encyclopédique d’Histoire, page *PRECY Louis François Perrin, comte de château de Précy, près de Semur, Bourgogne, 15/1/1742, Marcigny sur Loire, 25/8/1820. Général français. Commandant de la Garde constitutionnelle de Louis XVI en 1791, il montra une fidélité héroïque au roi dans la journée du 10 Août, puis fut choisi comme commandant militaire par la ville de Lyon, insurgée contre la Convention. Après avoir soutenu deux mois de siège août/octobre 1793, il réussit une sortie avant la chute de la ville et put se réfugier en Suisse. Louis XVIII le fit lieutenant général et lui donna le commandement de la garde nationale de Lyon. C’est son héroïsme et ses capacités militaires qui sont célébrées dans La ligue noire, l’hymne des Lyonnais fédéralistes et royalistes révoltés contre la Convention. Ecouter La Ligue noire ou Les fantassins lyonnais Chant de tradition française interprété par la chorale de la promotion ESM Colonel Cazeilles. Paroles complètes. • Gauthier et Albitte sont les conventionnels représentants le Comité de Salut Public; Crancé de son vrai nom Dubois-Crancé fut nommé par Barère – celui qui demanda de détruire la Vendée » ! – , commissaire à l’armée des Alpes, au printemps 1793. Il avait été promu général de brigade le 8 mars 1793, et c’était lui qui dirigeait le siège de Lyon. • Montessuy est un fort situé au nord de Lyon ; • Caron fait référence à Charon, le fils des Ténèbres et de la Nuit qui, dans la mythologie grecque assurait le transport des défunt vers le royaume des morts, grâce à sa barque ; • Précy ci dessous est le chef royaliste de l’insurrection il a héroïquement défendu Louis XVI lors de la journée du 10 Août, aux Tuileries éphéméride du 10 août. 1829 Inauguration du Bassin Charles X, à Cherbourg La construction de la digue formant la rade de Cherbourg – la plus grande rade artificielle du monde ci dessous – est une aventure extraordinaire initiée à la fin du XVIIIème siècle par Louis XVI et achevée en 1858 par Napoléon III. Il s’agit d’un projet pharaonique, qui devait assurer à la France une défense stratégique face aux ennemis anglais. Jusque là, personne au monde n’avait envisagé de construire une digue en pleine mer, sur un fond sableux de 15 m, sans enrochements à partir desquels élever un tel ouvrage. Construction du port militaire de Cherbourg En 1782, Louis XVI, féru de sciences et de marine, confiera à l’ingénieur Louis-Alexandre de Cessart le soin de mettre en œuvre son projet de construire des cônes en bois de 20 mètres de haut, les couler en pleine mer, puis les remplir de pierres. 90 cônes ainsi coulés côté à côté devaient former la digue de Cherbourg. Il fallait, face à l’ennemi anglais, pouvoir mettre à l’abri une flotte de 80 vaisseaux au plus près des côtes anglaises. Louis XVI vint en personne assister au coulage du 9ème cône en 1786 sur son voyage triomphal, voir l’éphéméride du 29 juin. Dans le contexte de la guerre d’indépendance des États-Unis, Louis XVI désirait disposer d’un grand port militaire sur la Manche, comparable à celui de Brest sur l’Atlantique il décida donc l’édification d’un port militaire dans le Cotentin. En 1777, deux projets lui furent présentés celui de l’ingénieur en chef des Ponts et chaussées et des ports de la généralité de Caen, Armand Lefebvre, prévoyant la fortification de la rade de Cherbourg autour du port de commerce agrandi. Et celui de Choquet de Lindu, directeur du génie maritime, privilégiant la construction d’un arsenal de première classe à la Hougue. La Couldre de La Bretonnière ci contre mena une étude comparative des deux projets, qui conclut à la supériorité de la rade de Cherbourg, proposant qu’elle soit couverte par une jetée de deux mille toises de long, située entre la pointe de Querqueville et les récifs de l’île Pelée , assise sur un fond de 20 mètres. Pour La Bretonnière, il fallait asseoir la digue sur des vieux bâtiments de guerre immergés, remplis de pierres perdues, et la maçonner sur sa partie supérieure. Mais on préféra le projet innovant de Cessart consistant en une digue à claire-voie, par l’immersion de 90 cônes de bois lestés de pierres, de 30 mètres de diamètre à la base et 20 mètres de hauteur. Les travaux débutèrent dans les années 1780. L’île Pelée fut fortifiée tandis qu’on immergea, en présence du roi, des cônes en bois remplis de pierre au large du port pour servir de fondations à une digue. Mais les crédits s’épuisèrent rapidement, ne permettant l’immersion que de 18 cônes lorsque les travaux furent interrompus par la Révolution.. Ils reprirent à la demande du Premier consul Bonaparte en 1803 décret du 25 germinal an XI, avec pour objectif l’invasion de l’Angleterre. En 1813, la digue du large qui fait de la rade de Cherbourg la plus grande rade artificielle au monde fut achevée. Napoléon chargea l’ingénieur Joseph Cachin du creusement, à l’ouest de la ville, de l’avant-port militaire, inauguré le 27 août 1813 par l’impératrice Marie-Louise, et décida de déplacer l’Arsenal au même endroit. À l’abri des attaques anglaises, le port devient en 1803 un port d’attache de corsaires. Les deux derniers bassins Charles X », commencé en 1814 – de 290 x 220 x 18 mètres – et Napoléon III », commencé en 1836 – de 420 x 200 x 18 mètres – furent respectivement inaugurés le 25 août 1829 – en présence du Dauphin – et le 7 août 1858, par le couple impérial. Vue aérienne de Cherbourg, aujourd’hui 1908 Mort d’Henri Becquerel, Prix Nobel de Physique 1903 Une des plaques de Becquerel imprimées par la radioactivité de l’uranium. 1939 L’Humanité soutient le pacte de non-agression Germano-Soviétique elle sera interdite deux jours plus tard. C’est le gouvernement Daladier qui interdit l’organe central du PCF, lequel entra alors dans la clandestinité, et fit même des démarches – en juin/juillet 1940 – auprès de l’occupant nazi pour obtenir des Allemands l’autorisation de reparaître ! Il faudra attendre la guerre entre l’ et l’Allemagne nazie pour que le journal, toujours fidèle caniche du Komintern et – à l’époque – du sinistre Staline opère un virage à cent quatre-vingt degrés et devienne officiellement résistant », après tout de même presque deux ans de complaisance envers l’ennemi. Interdite en 1939 pour son soutien au pacte germano-soviétique, L’Humanité alla même, un an plus tard, jusqu’à célébrer la paix avec Hitler éphéméride du 28 août Meilleurs tacticiens, car plus roués, que les royalistes d’Action Française – et, surtout, aidés en tout et massivement par un Staline et un Komintern alors au faîte de leur puissance – les communistes réalisèrent le prodige, à la fin de la guerre, d’accaparer presque la Résistance et, en tous cas, de faire régner une nouvelle Terreur, baptisée Epuration !, de briser le mouvement royaliste et de faire condamner Maurras pour intelligence avec l’ennemi » éphéméride du 28 janvier alors que, dès les premiers jours du conflit, l’Action française fut à la pointe du combat contre l’Allemagne c’était le triste temps où les premiers collabos » faisaient condamner les premiers résistants ! 1944 Paris libéré… » Le général Leclerc reçoit, devant la gare Montparnasse, la capitulation des troupes allemandes. Débarqué en Normandie à la tête de la 2ème division blindée deux mois plus tôt, ses premiers blindés étaient entrés dans Paris dès le 24 au soir. Dans notre album L’aventure France racontée par les cartes, voir les deux photos La 2ème DB de Douala à Berchtesgaden… I/II » et …en passant par la Normandie II/II ! ». Ci-dessus, le char Sherman M4A2 ROMILLY, premier blindé Français à entrer dans Paris avec le détachement du capitaine DRONNE, le 24 août 1944 dans la soirée. Il est commandé par l’adjudant CARON qui sera tué au combat le lendemain Le lendemain, De Gaulle descendra les Champs Elysées. 25 août 1944 – Libération de Paris 1985 Premières Fêtes de la Saint Louis » à Aigues-Mortes Aigues-Mortes – Fêtes de la Saint-Louis Aigues-Mortes 1995 Premier vol de l’Airbus A 319 L’Airbus A319 est une version plus courte de 4 mètres que l’A320, mais avec les mêmes moteurs et la même quantité de kérosène, ce qui en fait donc un avion plus léger avec une autonomie accrue. Cette éphéméride vous a plu ? En cliquant simplement sur le lien suivant, vous pourrez consulter, en permanence • la Table des Matières des 366 jours de l’année avec le 29 février des années bissextiles…, • l’album L’Aventure France racontée par les cartes 211 photos, • écouter 59 morceaux de musique, • et découvrir pourquoi et dans quels buts nous vous proposons ces éphémérides Éphémérides, pourquoi, dans quels buts ? Les 366 éphémérides de l’année En1032, il finit par s’éteindre avec son dernier souverain, Rodolphe III. Son décès fait passer tout le royaume de Bourgogne, dont Payerne, sous la domination germanique de Conrad II le Salique, fraîchement couronné empereur à Rome par le Pape. En 1033, il se fait également introniser roi de Haute-Bourgogne, dans l’abbatiale de Payerne. Philippe est sacré à Reims dans sa quatorzième année, le 1er novembre 1179, du vivant de son père Louis VII le Jeune. L'année suivante, le 28 avril 1180, il est marié à Isabelle de Hainaut, qui lui apporte en dot l'Artois, Arras et Saint-Omer. Comme son père meurt le 18 septembre suivant, le voilà désormais seul à régner sur la France sous le nom de Philippe II. Malgré ses déboires matrimoniaux, malgré aussi sa fragilité nerveuse, il va se révéler un grand souverain par son oeuvre administrative et ses conquêtes, qui lui vaudront de quadrupler le domaine royal et le feront parfois surnommer le Conquérant. Un roi conquérant Philippe Auguste combat avec succès les rois d'Angleterre, Henri II Plantagenêt et ses fils Richard Coeur de Lion et Jean sans Terre, qui, par leurs possessions continentales Normandie, Anjou, Aquitaine..., menacent très directement son autorité. Tandis qu'il manipule contre le vieux roi Henri II ses propres fils, voilà que l'on apprend la victoire du sultan Saladin sur les Francs à Hattîn. Le 3 octobre 1187, Jérusalem tombe entre ses mains. C'est la stupeur en Occident. Les Francs de Palestine, sur le point d'être rejetés à la mer, appellent à l'aide les rois d'Occident. Philippe Auguste convient alors d'une trêve avec les Plantagenêt et, sans se hâter, s'embarque pour la Terre sainte de même que le nouveau roi d'Angleterre Richard 1er. Mais le coeur n'y est pas. Les deux rois se querellent dès l'embarquement à Messine, en Sicile, et leurs dissensions se font de plus en plus vives. Philippe Auguste s'en retourne chez lui sitôt après la prise de la citadelle d'Acre. De retour en France, il profite de la longue absence de Richard Coeur de Lion pour enlever le Vexin et une partie de la Normandie aux Anglais. À la mort de Richard, Philippe se réconcilie provisoirement avec son frère et successeur, le roi Jean sans Terre, par le traité du Goulet, le 22 mai 1200. Dès le lendemain est célébré le mariage entre le fils du roi Philippe Auguste et la nièce de Jean sans Terre, Blanche de Castille. Mais très vite, les hostilités reprennent. Le conflit franco-anglais débouche en 1214 sur une coalition internationale, la première du genre. Elle réunit le roi d'Angleterre Jean sans Terre, les comtes de Flandre et de Boulogne, le duc de Brabant ainsi que l'empereur d'Allemagne Otto IV. La bataille décisive a lieu à Bouvines, le dimanche 27 juillet 1214. Elle se solde par une victoire éclatante de la chevalerie française alliée aux milices communales. Sous le règne de Philippe Auguste a lieu aussi la croisade contre les Albigeois. Elle est déclenchée en 1208 suite au meurtre du légat du pape Innocent III par un écuyer du comte de Toulouse, sur une route du Languedoc. Philippe Auguste se garde d'intervenir directement dans l'expédition, soit qu'il est trop occupé par ses guerres avec les Plantagenêt et leurs alliés, soit qu'il ne veut pas salir la dynastie dans une guerre contre des chrétiens appelés à devenir ses sujets. Il laisse aux petits seigneurs du bassin parisien, tel Simon de Montfort, le soin de faire la sale besogne. Mais il reviendra à son fils Louis VIII le Lion et à son petit-fils d'en terminer avec celle-ci. La France des premiers rois capétiens Cliquez pour agrandir Pendant les deux premiers siècles, les Capétiens n'ont d'autorité que sur un petit territoire s'étendant de Paris à Orléans. Le reste du royaume demeure à la merci de seigneurs rebelles et turbulents. Les rois, de concert avec le clergé, n'ont de cesse de réduire la violence endémique... Un roi administrateur Le roi crée un corps de fonctionnaires salariés les baillis au nord et sénéchaux dans le Midi, pour rendre la justice et remplacer ou surveiller les prévôts, traditionnels régisseurs des domaines royaux, coupables de nombreux abus. Il multiplie les rentrées d'impôts, notamment en vendant des chartes de franchises et en émancipant les serfs contre espèces. Le roi ne manque pas aussi d'embellir sa capitale Paris et l'entoure d'une première ligne de fortifications, l' enceinte Philippe Auguste » dont il reste quelques vestiges dans le quartier du Marais. Publié ou mis à jour le 2018-11-27 095014 Cest ce qui le pousse à l'exil en Corse où, avec 250 hommes, il prépare la reconquête de son royaume. Mais la flottille est dispersée par le vent et débarque à Pizzo, où la population lui est farouchement hostile. Il est fait prisonnier et fusillé le 13 octobre 1815, avec un calme stupéfiant, qui fera de lui "le roi des braves et le plus brave des Rois".

salut à tous j'ai commencé une dissertation dont le sujet est "le roi est empereur dans son royaume" et donc j aimerai avoir vos avis sur mon intro et sur mon plan. je me suis aidé du cours et du cours sur site suivant est ce que vous pensez que j'ai fait du copié collé? "Quod principi placuit legis habet vigorem", cet adage Romain vient du jurisconsulte romain Ulpien. Il fonde la domination du roi dans son royaume. Le sujet est "Rex est Imperator in regno suo" ; ces termes signifient que le roi rex est empereur dans son royaume. Cette maxime est née vers le 13eme siècle, à cette époque ce sont les Capétiens qui règnent en France. Malgré leurs règnes sur le trône de France, le roi n'ayant pas été sacré par le pape, le début du règne des capétiens sera difficile, d'un côté l'enchâtellement des seigneurs au sein du royaume et leurs prises de pouvoir, en l'occurrence l'appropriation du pouvoir de Ban va diminuer le pouvoir royal. Le roi ayant un pouvoir faible devra alors convoquer les Grands du Royaume pour prendre des décisions dans tout le royaume et non dans son domaine. De l'autre côté, d'un point de vue extérieur, il y a une opposition entre la papauté et l'empereur germanique. L'empereur germanique se disant descendant des empereurs romains, veut donc en tant que tel, régner sur l'occident, quand à l'autre puissance c'est la papauté celle-ci se veut universelle et veut alors dominer l'occident de ses idées elle va donc en premier temps dénigrer l'empereur germanique puis s'en prendre au roi de France. En outre, la question qui ressort de cette maxime "le roi est empereur dans son royaume" est de savoir comment le roi va t'il affirmer la souveraineté royale ? Pour y répondre, il faudra s'intéresser à l'évolution d'un roi suzerain à une souveraineté royale I puis aux puissances extérieures menaçant le Roi de France II. I. L'évolution d'un roi suzerain à une souveraineté royale premier chapeau A Expansion du domaine royal -une lutte contre les grands feudataires -la commise du Fief -affaiblissement des rivaux via le droit privé B Une affirmation souveraineté royale -Un roi souverain -Une protection que le roi doit à ses sujets - gouverner l’intégralité de la population du royaume sans s’appuyer des grand du royaume II Les puissance extérieur menaçant le Roi de France 2éme chapeau Ales relations avec l'empire germanique -les revendication de l'empereur germanique -le rôle des canonistes dans l'affaiblissement de l'empereur -la victoire a double tranchant de la papauté sur le Saint empire Ble conflit entre la papauté et le royaume de France -un conflit en deux temps -assemblée du 16 novembre 1302 devant notre Dame de Paris - le Gallicanisme.

Soitse libérer de l’aveuglement en se mettant en Dieu et en retrouvant sa capacité à aimer le divin chez l’autre. Il est temps de réintroduire, en ce 21 janvier 2017, le Roi caché, que l’on associe parfois au mythe du Grand Monarque. Ce mystère s’inscrit dans le choix de la
Charles Quint 1500-1558 est célèbre pour avoir été l’un des souverains les plus puissants d’Europe, régnant sur les Pays-Bas, l’Espagne et sur le Saint Empire romain germanique. Maître d’un immense empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais », l’histoire de Charles Quint ne ressemble à aucune autre. Non seulement il fut le premier monarque à disposer d’un empire colonial situé sur le nouveau continent amérindien, mais il fut également l’heureux bénéficiaire d’une cascade d’héritages qui le plaça à la tête d’un immense domaine en Europe. Durant tout son règne, Charles Quint dû lutter à la fois contre la France lors des guerres d'Italie, contre l'Empire ottoman qui envahit l'Europe de l'Est et contre le protestantisme qui émerge en Allemagne. Les héritages de Charles Quint Le futur Charles Quint est né en 1500 à Gand en Flandres, peu gâté par dame nature, mais avec une cuillère en or dans la bouche. Francophone, il baigne dans la tradition bourguignonne des riches états de son père le duc de Bourgogne Philippe le beau, dont il hérite en 1506 – Belgique, Artois, Luxembourg, sud de la Hollande, Franche-Comté. Ses grand-parents maternels ne sont autres qu’Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon, les rois catholiques », auréolés du prestige de la fin de la reconquête de l’Espagne sur les maures, qui règnent sur la méditerranée et président à la conquête du nouveau monde amorcée par Christophe Colomb en 1492. Charles Quint en hérite définitivement en 1518, prenant le nom de Charles Ier d'Espagne. Ayant écarté au passage sa dépressive mère Jeanne la Folle, il rencontre aussi quelques résistances des hispaniques qui ne voient pas d’un bon œil l’arrivée d’un souverain bourguignon. Cerise sur le gâteau, il devient, à la mort de son grand père l'empereur Maximilien Ier, archiduc d’Autriche, ce qui lui ouvre la voie de la succession à la couronne du saint empire romain germanique, couronne qu’il emporte de haute lutte en 1519 en achetant grassement les princes électeurs pour être élu empereur. Ses concurrents François Ier et Henri VIII avaient bien perçu le danger que représentait pour l’équilibre en Europe ce Charles trop bien né, et ils ne laisseront que peu de répis à Charles. Empereur du Saint Empire romain germanique Sans conteste le souverain le plus puissant de la chrétienté, Charles Quint domine alors un ensemble de territoires comprenant les royaumes espagnols d’Aragon et de Castille, les États italiens de Naples, de Sicile et de Sardaigne, les territoires conquis en Amérique et en Afrique, les Pays-Bas, la Flandre, l’Artois, l’Alsace, la Franche-Comté, ainsi que l’ensemble des possessions des Habsbourg. Face à cette nouvelle puissance habsbourgeoise, le souverain français craint pour ses terres encerclées. En fait, l’unité d’un tel empire n’est que théorique, car Charles, dont l’éducation est de tradition française et catholique, demeure un étranger en Espagne, et plus encore en Allemagne. Cette difficulté à réunir sous un même nom de si vastes possessions est d’ailleurs vite comprise par François Ier qui cherche alors à exploiter la faiblesse de Charles Quint. Charles Quint versus François Ier Charles Quint, qui a épousé Isabelle de Portugal en 1526, règne sur le Nouveau Monde comme sur l’Ancien. Ses possessions et ses origines font de lui avant tout un monarque européen. On dit de lui qu’il parlait aux hommes en français, italien aux femmes, espagnol à Dieu et allemand à son cheval. Couronné Empereur en 1520 à Aix la Chapelle, songeant d’une part à Charlemagne et d’autre part à ses marins italiens et ses conquistadors espagnols à l’assaut des Amériques, il devait probablement rêver à un possible empire universel, dont la base serait le continent européen. Sa devise –Toujours plus loin- est à la mesure de son ambition. Une ambition qui va rapidement être freiné par les nombreuses épines qui vont venir se planter dans son songe. Il y a pour commencer ce cactus planté au milieu de son domaine nommé François Ier à la tête du royaume de France, qu’il doit contourner en d’épuisants voyages par terre et par mer pour visiter son empire ou faire circuler ses armées. Entre le souverain français cerné de toutes parts et l’ambitieux Empereur s’engage une lutte à mort qui va durer quatre décennies. Malgré quelques victoires militaires –Pavie, 1525-, l’opiniâtre roi de France ne cède pas malgré la signature du traité de Madrid 1526, et les deux parties s’épuisent dans une série de guerres qui ne donneront aucun avantage durable à l’une ou l’autre. François Ier n'en démord pas et prend Charles Quint à revers en s’alliant au sultan Soliman le Magnifique, ce dernier menaçant dangereusement ses possessions habsbourgeoises en venant mettre le siège devant Vienne 1529. Charles se console en ajoutant à ses possessions la Bohème, le Milanais et la Hollande, mais échoue dans ses tentatives pour s’établir en Afrique du nord contre les Turcs. En 1529, une paix précaire dite Paix des Dames négociée par Louise de Savoie représentant le roi de France et Marguerite d'Autriche pour l'empereur est signée à Cambrai. Menaces sur l'Empire Lors de chacun des conflits contre la France, Charles Quint cherche à hâter la paix afin de se consacrer, en sus des guerres religieuses intestines, à la défense de l’Empire contre la menace ottomane. En effet, le sultan Soliman Ier, après avoir soumis la péninsule balkanique, avait déclaré la guerre à la Hongrie en 1526 et remporté la même année la bataille de Mohács. Trois ans plus tard, les Turcs assiègent Vienne. En 1535, l’amiral génois Andrea Doria, au service de Charles Quint, prend la tête d’une expédition en Afrique, met les Turcs en déroute à Tunis et libère environ 20 000 esclaves chrétiens. En 1538, la Sainte Ligue est constituée par le pape Paul III et la république de Venise. L’alliance ne dure pas et, en 1547, Ferdinand Ier, roi de Bohême et de Hongrie, frère de Charles Quint, doit signer un traité de paix avec les Turcs. L’autre menace qui plane sur l’unité même de son empire est la réforme religieuse qui commence et progresse sous son règne. Depuis 1517 se propagent en Europe les idées de Martin Luther puis de Calvin qui visent à changer en profondeur les pratiques et dogmes de l’Eglise. La Réforme va trouver entre autres des échos auprès des princes allemands, bien trop heureux de trouver un moyen de résister à l’Empereur qui n’a de cesse de rogner les libertés germaniques ». Ils s'unissent en 1529 dans la Ligue de Smalkalde. Détenteur du titre de Saint Empereur Romain, Charles Quint, fervent catholique, va lutter avec acharnement contre la Réforme. Malgré une victoire militaire à Mülhberg 1547 sur les princes luthériens rebelles soutenus opportunément par François Ier, Charles Quint est impuissant à circoncire la progression de la réforme en Allemagne, en Suisse et aux Pays-Bas. Et ce, d’autant plus que l’autorité papale est très affaiblie à cette époque, affaiblissement auquel il a lui-même contribué dans lors de ses incessantes luttes contre la France en Italie sac de Rome en 1526 sous le pontificat de Clément VII. En définitive, durant le règne de Charles Quint, seuls les Pays-Bas connaissent une période de croissance, due en grande partie à l’essor commercial des villes portuaires telles Amsterdam et Anvers. Une évolution politique s’ébauche aussi, avec la pragmatique sanction de 1549 qui reconnaît l’existence des Dix-Sept Provinces du pays comme un ensemble indivisible et impartageable ». Durant son règne, Charles Quint dirige ses territoires sous le signe de l’humanisme, avec Érasme, André Vésale ou Bruegel l’Ancien. Seule tache sombre au développement du pays, une révolte, fomentée par le monarque français, qui éclate en 1539 à Gand et est suivie d’une dure répression. Une fin de règne difficile pour Charles Quint Peu à peu, Charles Quint voit son rêve d’Empire Universel Chrétien s’évaporer. Malgré les fabuleuses richesses que ses vaisseaux ramènent des Amériques, la France l’empêche d’unifier géographiquement son empire, dont les frontières sont menacées dans les Balkans par les turcs, et il assiste impuissant à la division religieuse qui s’installe durablement en Europe. En 1555, lassé et usé par les guerres incessantes qu’il doit mener sur tous les fronts, malade et gagné par l’amertume, Charles Quint annonce à l’Europe entière stupéfaite son intention d’abdiquer. C’est un fait rarissime dont le dernier précédent remonte à l’Empereur romain Dioclétien. Lucide, il partage son immense empire entre son frère Ferdinand et son fils, le futur roi d'Espagne Philippe II. Ayant marqué de son empreinte le XVIe siècle, il se retire des affaires du monde dans le monastère de San Jerónimo de Yuste en Estrémadure. Il y meurt le 21 septembre 1558 de la malaria, emportant avec lui son rêve… Pour la petite histoire, l'empereur Charles Quint a failli être marié dans sa jeunesse à Renée de France, fille de louis XII et d’Anne de Bretagne. On se prend à rêver du destin de l’Europe si, au hasard d’un autre heureux héritage, Charles Quint avait ajouté, grâce à cette union, la France à sa collection de couronnes... Bibliographie - Charles Quint L'Empire éphémère de Jean-Michel Sallmann, Payot 2004. - Charles Quint de Philippe Erlanger. Tempus, 2004. - Charles Quint, biographie de Pierre Chaunu. Fayard, 2000.
Sujetdu message : Roi empereur en son royaume et couronne fermée. Publié : 23 Fév 2022 14:52 . Administrateur: Inscription : 27 Avr 2004 16:38 Message(s) : 10049 Localisation : Région Parisienne Le Roi est empereur en son Royaume, la formule date du XIIIème siècle et a été popularisée par les légistes de Philippe le Bel. Un des signes de l'empereur est une couronne 5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 1859 On appelle regalia les objets symboliques de la monarchie française. Nous en avons évoqué quelques-uns en cours. Voici quelques petites illustrations de ces différents symboles. La couronne royale C'est le symbole de la royauté par excellence. Elle montre que le roi de France est souverain maître dans son royaume. Le peuple doit fidélité à la couronne de France. Les couronnes sont conservées d'un sacre à l'autre. Couronne de Saint-Louis Couronne Henry IV Couronne Louis XV Les couronnes des rois de France furent détruites au moment de la Révolution française. Celle de Louis XV a été sauvée et est conservée au Louvre. La fleur de Lys C'est un symbole de pureté qui est associé à la Vierge. La Vierge était la protectrice des rois, et le roi est un médiateur un intermédiaire entre Dieu et les hommes. La fleur de lys devient un symbole de la famille royale française et elle est présente notamment sur les manteaux du sacre trois fleur sur fond azur. Sur ce tableau, on peut identifier d'autres regalia des rois de France Le sceptre Royal C'est le baton de commandement. Le roi le tient à la main droite lors de son sacre et lors des autres cérémonies importantes. Le roi doit guider et commander ses sujets. Sceptre de Charles V avec une statuette représentant Charlemagne La main de justice Remise après le sceptre durant la cérémonie du sacre, la main de justice représente une main gauche. Tenue dans la même main par le roi, son pouce le roi, son index la raison et son majeur la charité sont déployés et symbolisent la Trinité. Les deux derniers doigts sont quant à eux repliés et, pour leur part, figurent la foi catholique. Le roi est le juge suprême dans son royaume. Main de justice du sacre de Napoléon Ier L'épée Le roi est le principal guerrier du royaume. Il est le protecteur de la foi catholique et de son Eglise. L'épée du sacre est appelée "joyeuse", comme celle de Charlemagne mais elle a été forgée plus tard. Epée "joyeuse" conservée au Louvre Les éperons d'or Ils font du roi le premier des chevaliers du royaume. On a vu en cours que le roi était placé tout en haut de la pyramide féodale constituée avec les liens unissant un suzerain à ses vassaux. Nous reviendrons dans un futur article sur la signification du sacre qui fait du roi de France, le représentant de Dieu sur terre. Published by mgouralnik - dans Cinquième
la COURONNE : elle montre que le roi de France est empereur en son royaume selon la volonté de Dieu. Le peuple doit fidélité à la couronne de France. - le SCEPTRE : c’est un bâton. Comme les Patriarches de l’Ancien Testament, celui qui le porte est désigné par Dieu pour guider les autres. Le roi guide l’ensemble de ses
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