Arbrescommuns de la forĂȘt Bouleau Bourdaine Charme HĂȘtre ChĂȘne sessile Houx Pin sylvestre Pin maritime Pin laricio Les arbres de la forĂȘt HĂȘtres, chĂȘnes, houx occupent une grande partie du domaine forestier. Les rĂ©sineux (pins), plantĂ©s Ă  partir de 1838, occupent 35 % du domaine. On rencontre Ă©galement plusieurs zones couvertes de Sur cette page, vous pouvez trouver une carte de localisation, ainsi qu'une liste des lieux et des services disponibles sur ou Ă  proximitĂ© AllĂ©e des Hirondelles HĂŽtels, restaurants, installations sportives, centres Ă©ducatifs, distributeurs automatiques de billets, supermarchĂ©s, stations d'essence et nommĂ©s Ă  proximitĂ©Rabin - 273 mChamps PĂ©ans - 142 mLe Cours SĂ©vignĂ© - 193 mServices Ă  proximitĂ© AllĂ©e des HirondellesS'il vous plaĂźt cliquer sur la case situĂ©e Ă  gauche du nom du service pour afficher sur la carte l'emplacement des services sĂ©lectionnĂ©s. Filtrer par catĂ©gorie HĂ©bergementHĂŽtel - 782mIbisRue de RennesAutomobileParking - 306m-65bis Rue de RennesParking - 334m-8 AllĂ©e de la RenaudiĂšreRĂ©paration de voitures - 889mPeugeot Psa Retail Cesson-SĂ©vignĂ©51 Rue de Rennes 35517 Cesson-SĂ©vignĂ© TĂ©lĂ©phone +33 2 23 45 67 89 Fax +33 2 23 45 67 90 Email Heures d'ouverture Mo-Fr 0800-1900; Sa 0830-1230, 1400-1900EntrĂ©e du parking - 498m- - accĂšs privĂ©1 AllĂ©e de la Croix Nobletplace de parking - 232m-Rue des Vaux ParĂ©splace de parking - 239m-Rue des Vaux ParĂ©sReligieuxLieu de culte - 695mÉglise de JĂ©sus-Christ des saints des derniers jours christian - mormon51 Rue de Rennes 35510 Cesson-SĂ©vignéÉducationUniversitĂ© - 662m-2 Rue de la ChĂątaigneraieÉcole - 687mÉcole Montesso'Rennes263 avenue du GĂ©nĂ©ral Leclerc 35700 RennesEcole privĂ©e hors contratMaternelle - 204mÉcolo et Compagnie71 Rue de Rennes 35510 Cesson-SĂ©vignĂ©Shoppingmagasin de moto - 390mLeconte Cesson77 Rue de RennesCar shop - 893mCitroĂ«n Psa Retail Chantepie TĂ©lĂ©phone +33 2 99 86 10 10 Fax +33 2 99 86 10 20 Heures d'ouverture Mo-Fr 0830-1230, 1400-1900; Sa 0900-1230, 1400-1900Vin - 178mLe Futoir74 Rue de Rennes 35510 Cesson-SĂ©vignĂ© Heures d'ouverture Tu,We 1000-1300,1500-2300; Th-Sa 1000-1300,1500-0100; Sports et LoisirsTennis - 240m- - accĂšs privĂ©Rue de la TremblaieFootball - 929m-Basketball - 769mÉglise de JĂ©sus-Christ des Saints des Derniers JoursAliments et BoissonsRestaurant - 770mCap Ô SaveursRue de RennesFast Food - 425mAhDaGio2 Rue des Cours de CoĂ«smes 35510 TĂ©lĂ©phone +33299520620Services Publics et SociauxCase postale - 213m- - La PosteAllĂ©e des MĂ©sangesCase postale - 261m- - La Poste66 Rue de la Tremblaiecentre communautaire - 219mSalle de quartier des Vaux ParĂ©s71 Rue de Rennes 35510 Cesson-SĂ©vignĂ©TransportParking VĂ©lo - 189m- - accĂšs public73 Rue de RennesParking VĂ©lo - 317m- - accĂšs public6 Rue des Vaux ParĂ©sParking VĂ©lo - 265m- - accĂšs public12 Rue des Vaux ParĂ©sLocation de vĂ©lo - 786mBeaulieu Chimie - IDEcycle - CykleoAllĂ©e de BeaulieuVoyageArtisanat - 965mDegrĂ©Avenue de la TouraudaisInformation touristique - 972m-AllĂ©e Victor Grignardsite de pique-nique - 606m-AutresRecyclage - 109m-31 AllĂ©e des RosiersRecyclage - 396m-15 Rue des Vaux ParĂ©sRecyclage - 181m-6 AllĂ©e des RosiersRecyclage - 393m- - Rennes MĂ©tropole - accĂšs public - pas de frais15 Rue des Vaux ParĂ©sRecyclage - 314m- - Rennes MĂ©tropole - accĂšs public - pas de frais6 Rue des Vaux ParĂ©sRecyclage - 277m- - Rennes MĂ©tropole - accĂšs public - pas de frais12 Rue des Vaux ParĂ©sRecyclage - 274m- - Rennes MĂ©tropole - accĂšs public - pas de frais12 Rue des Vaux ParĂ©sRecyclage - 157m- - Rennes MĂ©tropole - accĂšs public - pas de frais73 Rue de RennesAbri - 687mLocal Annexe - Église de JĂ©sus-Christ des Saints des Derniers JoursRue des Myosotissport-handball - 969m-Avenue de la RenaudiĂšretraitement des dĂ©chets - 162m- - Rennes MĂ©tropole - accĂšs public - pas de frais73 Rue de Rennestraitement des dĂ©chets - 311m- - Rennes MĂ©tropole - accĂšs public - pas de frais6 Rue des Vaux ParĂ©straitement des dĂ©chets - 271m- - Rennes MĂ©tropole - accĂšs public - pas de frais12 Rue des Vaux ParĂ©straitement des dĂ©chets - 268m- - Rennes MĂ©tropole - accĂšs public - pas de frais12 Rue des Vaux ParĂ©sVĂ©tĂ©rinaire - 607mVetovie53bis Rue de RennesBanc - 870m-Avenue des PrĂ©alesCorbeille - 1277m-Rond-Point de la VilaineStation de Charge - 1490m- Ruede FougĂšres; allĂ©e de la croix des hĂȘtres; boulevard volney; rue Antoine Joly; Contour Antoine de Saint ExupĂ©ry æˆżé—Ž From Boulevard de Verdun, 35000 Rennes, æł•ć›œ 531€ /mois 靱积: 18 Il y eut d’abord les dimanches de mon enfance, chez mes grands-parents, autour du dĂ©jeuner dominical de rigueur. Nous retrouvions mes quatre grands-parents au village du Faou, mon lieu matriciel. L’atmosphĂšre Ă©tait trĂšs paisible, pour ce rite qui s’imposait Ă  tous, et se poursuivait en grands-pĂšres Ă©taient militaires en retraite. L’un avait Ă©tĂ© officier sous-marinier. Parce qu’il avait pris sa retraite Ă  la veille du naufrage de son bĂątiment, je l’ai toujours tenu pour un miraculĂ©. Il Ă©tait trĂšs secret. Sa rĂ©serve me Ă©tait gendarme maritime. C’était un vrai conteur. L’un et l’autre nous racontaient leurs voyages aux colonies. Ils professaient un fort sens du service de l’État et Ă©taient trĂšs attentifs Ă  nos rĂ©sultats scolaires, Ă  la correction de la langue, Ă  l’éloquence, et aussi Ă  l’actualitĂ© politique. Mon goĂ»t pour la langue, l’imaginaire, le rĂ©cit, provient sans doute de ces moments partagĂ©s, dans cet Ă©tat de bonheur paisible et naturel. J’ai entendu la cloche annonçant la messe anticipĂ©e de 18 h 30, et j’ai dĂ©cidĂ© d’y aller. Et je n’ai jamais cessĂ© »En 1985, Ă  36 ans, il y a exactement trente ans, la messe va redevenir un Ă©lĂ©ment nouveau et permanent de ma vie. C’était le premier dimanche de l’Avent, Ă  Morlaix. À l’époque, j’écrivais Le Dieu noir, chronique d’un pape samedi soir, j’ai entendu la cloche annonçant la messe anticipĂ©e de 18 h 30, et j’ai dĂ©cidĂ© d’y aller. Et je n’ai jamais cessĂ©. Je ne peux pas vous en dire plus. J’enseignais alors au lycĂ©e Ă  ce samedi-lĂ  ? Je ne sais pas. Il est vrai que je m’entretenais beaucoup avec l’archevĂȘque de Rennes, Mgr Jacques Jullien, ex-condisciple de mon pĂšre Ă  Brest. Avec lui, je prĂ©parais mon livre. Il me racontait le Vatican, sa vie d’évĂȘque. Sa prĂ©sence m’impressionnait. Chaque fois que j’allais le voir, j’étais Ă©mu. Il Ă©tait un roc, un personnage granitique. Quand je reviens Ă  l’église, je me sens comme chez moi »Au fond, je n’avais jamais vraiment quittĂ© l’Église. En dĂ©pit d’une certaine forme d’agnosticisme Ă  l’adolescence, je n’ai jamais Ă©tĂ© athĂ©e. Quand je reviens Ă  l’église, je me sens comme chez 1996, je suis arrivĂ© Ă  Paris, nommĂ© inspecteur pĂ©dagogique rĂ©gional Ă  Versailles. Et je me suis installĂ© dans le quartier du Sentier, pas loin des gares. Je voyais un Paris un peu intimidant ministĂ©riel, Ă©ditorial, culturel, la journĂ©e, j’inspectais des classes difficiles », soutenant mes jeunes collĂšgues, et le soir j’allais Ă  des cocktails chez Gallimard. C’était vertigineux.> Lire aussi Initiation au voyage littĂ©raire. Le chemin des livres de Philippe Le Guillou. Mercure de France, 129 p., 14 € Parfois, il m’arrive de rĂȘver que je prĂȘche
 »Mes dimanches parisiens, trĂšs vite, se sont centrĂ©s sur l’église Saint-Eustache, aux Halles. Elle me fascinait depuis l’époque oĂč, adolescent, j’écoutais les toccatas de Bach jouĂ©es par Jean Guillou sur cet curĂ© Ă©tait alors une forte personnalitĂ©, magnĂ©tique le P. BĂ©nĂ©teau. BeautĂ© de la liturgie, intelligence et hauteur des prĂ©dications, prĂ©sence oratorienne ce faisceau m’a sĂ©duit et me sĂ©duit encore, vingt ans plus messe de 11 heures est le cƓur de mes dimanches. Chaque annĂ©e, je lis la Passion, le Vendredi saint, sous ces voĂ»tes. J’écris des textes pour la feuille paroissiale. J’y ai donnĂ© des confĂ©rences, sur saint Philippe NĂ©ri. J’y suis donc modestement mais publiquement pratique dominicale est pour moi indispensable. La messe est une source dont j’ai soif, une forme parfaite », esthĂ©tique, intellectuelle et spirituelle. Rien n’est plus beau. J’y suis en porositĂ© avec la transcendance. Loin de l’immanence, du dĂ©sespoir des jours, qui nous assombrit. Je dois avouer que, parfois, il m’arrive de rĂȘver que je prĂȘche
Une messe Ă  Paris. Quand je reviens Ă  l’église, je me sens comme chez moi. » / Vincent Jarousseau Le dimanche, je n’écris jamais »Pendant des annĂ©es, j’y assistais en pur sauvage. À la sortie, je m’en allais. Car, Ă  la fin d’une cĂ©lĂ©bration, je suis toujours un peu dĂ©pressif. Comme aprĂšs avoir atteint un sommet. J’ai donc du mal Ă  retomber dans l’insignifiance, les dĂ©sormais, j’ai sympathisĂ© avec un groupe de jeunes paroissiens, enseignants, intellectuels. Ils me lisent, ont entendu mes confĂ©rences. Et souvent je dĂ©jeune avec eux Ă  l’issue de la messe. Avec eux, j’ai renoncĂ© Ă  mes habitudes de je marche dans Paris la Seine, le Marais, les bouquinistes. Je suis fascinĂ© par cette beautĂ©. Je dĂ©teste le nouveau quartier des Halles. La future canopĂ©e est pisseuse, jaunĂątre. Un lieu dimanche, je n’écris jamais. Je respecte la rĂšgle dominicale du non-travail. Je pense qu’il faut vĂ©ritablement sanctifier, sacraliser ce jour. Une bonne hygiĂšne de vie suppose de s’abstraire des choses. Sinon, tous les jours ressemblent Ă  tous les jours. »-Bio Express1959. Naissance au Faou FinistĂšre.1980-1995. Professeur de Lettres Ă  Brest, puis Ă  Inspecteur pĂ©dagogique rĂ©gional Ă  Versailles Yvelines.Depuis 2002. Inspecteur gĂ©nĂ©ral de l’éducation nationale, et enseignant Ă  Sciences-Po LIEU - L’église Saint-Sauveur du Faou Au fond de la rade de Brest, entre les chĂȘnes et les hĂȘtres de la forĂȘt du Cranou, au bord de cette “mer dans la terre”, marquĂ©e par l’alternance des marĂ©es, l’église du Faou, qui fut celle de mon baptĂȘme, a toujours Ă©tĂ© au cƓur de ma y avons rĂ©cemment cĂ©lĂ©brĂ© les obsĂšques de mon pĂšre. Son cercueil a passĂ© la “porte des morts”. Le Faou fut le creuset de mon imaginaire nourri, entre autres, de la lĂ©gende de la ville engloutie d’Ys, de la magie des bords de l’Aulne, fleuve cĂŽtier qui se jette dans la rade, sans oublier, plus loin, les bois de proximitĂ©, je suis sensible Ă  la beautĂ© d’autres sanctuaires, comme l’église Notre-Dame de Rumengol, ancien sanctuaire druidique, avec ses retables me retire rĂ©guliĂšrement pour Ă©crire et recevoir des amis dans ma maison, Ă  Kerrod “la maison de la mer”. »À lireLe Dieu noir Mercure de France, 1987, Le Pont des anges Gallimard, 2012 et Le pape des surprises Gallimard, 2015 constituent une trilogie pontificale » d’une haute tenue littĂ©raire et Rumeur du soleil Gallimard, 1989.Le Donjon de Lonveigh Gallimard, 1991.Le Passage de l’Aulne Gallimard, 1993.Livres des guerriers d’or Gallimard, 1995.Les Sept Noms du peintre Gallimard, 1997. Prix annĂ©es dans l’enfance du monde Gallimard, 1999.Le roi dort Gallimard, 2001.Les MarĂ©es du Faou Gallimard, 2003.Le DĂ©jeuner des bords de Loire suivi de Monsieur Gracq Gallimard, Folio, 2007.Le Chemin des livres Mercure de France, 2013. LaforĂȘt de QuĂ©nĂ©can est situĂ©e Ă  la limite entre les dĂ©partements français du Morbihan et des CĂŽtes-d'Armor, en Bretagne.. GĂ©ographie Site et situation. Massif forestier comprenant 3 700 hectares de bois, 200 hectares de landes, le lac de GuerlĂ©dan d'une surface de 300 hectares et 60 hectares d'Ă©tangs, elle est principalement constituĂ©e de feuillusː chĂȘnes, hĂȘtres RĂ©so'Forces Quelles solutions pour bien accompagner vos salariĂ©s en longue maladie ? 10/11/2019 Aucun commentaire L'AST35 et RĂ©so'Forces vous invitent Ă  une confĂ©rence pour savoir comment bien prĂ©parer et sĂ©curiser le retour Ă  l'emploi de vos salariĂ©s aprĂšs une longue maladie ! L’AST35 et RĂ©so’Forces vous invitent Ă  une confĂ©rence ! Pour qui Employeurs, managers, DRH Le sujet Comment prĂ©parer et sĂ©curiser le retour au travail de vos salariĂ©s ? Retrouvez-nous lundi 4 novembre 2019 Ă  18H15 Ă  l’AST 3 AllĂ©e de la Croix des HĂȘtres, 35700 Rennes EntrĂ©e gratuite sur inscription –> Inscrivez-vous <– Partagez la publication Laisser un commentaire
DĂ©pistageCOVID-19 test PCR dans les environs de AllĂ©e de la Croix des HĂȘtres : prenez rendez-vous en ligne. Centre de dĂ©pistage Covid FougĂšres - Laborizon Bretagne
Du 19 novembre 2019 au 19 novembre 2019 Rennes Dans le cadre de la Semaine EuropĂ©enne pour l’Emploi des Personnes HandicapĂ©es, l’AST 35 – Association SantĂ© Travail, LADAPT, l’Agefiph et cap emploi 35 vous invitent Ă  une confĂ©rence sur le thĂšme salariĂ©s en difficultĂ©s, de la dĂ©tection au maintien dans l’emploi. 📆 RDV le mardi 19 novembre 2019 Ă  18h15 Ă  l’AST35, 3 allĂ©e de la Croix des HĂȘtres – 35700 Rennes. 👉 sur inscription VoirAST 35 - Rennes Beaulieu Ă  Rennes, 3 AllĂ©e de la Croix des HĂȘtres sur Cylex et trouver ☎ 02 99 12 13, donnĂ©es de contact, ⌚ horaires d'ouverture. Le 13 mars 1999, FrĂ©dĂ©ric Pradier, pharmacien Ă  l’Assistance publique des HĂŽpitaux de Paris AP-HP dĂ©cĂšde d’une gangrĂšne gazeuse intracĂ©rĂ©brale Ă  l’hĂŽpital de la PitiĂ©-SalpĂȘtriĂšre Paris.Rappel des faits l'homme est admis aux urgences de l’établissement le 8 mars. Il est opĂ©rĂ© d’une rupture d’anĂ©vrisme cĂ©rĂ©bral. Dans les jours suivants l’intervention, il prĂ©sente de la fiĂšvre, signe d’une infection nosocomiale. Aucun traitement antibiotique ne lui est administrĂ©. Il dĂ©cĂšde. Quand je demandais Ă  un mĂ©decin, une infirmiĂšre, un interne de prescrire des antibiotiques Ă  mon compagnon fĂ©brile. Sans rĂ©ponse, personne ne m’écoutait’, a expliquĂ© la compagne de la victime et pharmacienne au quotidien Le Point Plusieurs dĂ©faillances ont Ă©tĂ© notifiĂ©es dans l’expertise menĂ©e quelques mois plus tard. Elles portaient notamment sur la dĂ©sinfection cutanĂ©e du malade, Ă  l’opĂ©ration, Ă  la prĂ©vention, Ă  la stĂ©rilisation et au suivi le Pr Jacques Philippon, le Dr StĂ©phane Clemenceau, le Pr Pierre Coriat et les Drs Chantal Colonne, Sabine Gallais et Sabine Roche ainsi que l'Assistance publique des hĂŽpitaux de Paris ont comparus pour homicide involontaire. Ils risquaient 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende. Aujourd’hui, soit 12 ans plus tard, aucune sanction n’est encore tombĂ©e. En 2009, la juge d'instruction Marie-Odile Bertella-Geffroy a demandĂ© le renvoi de l’affaire en une bactĂ©rie lui ronge les os pubiensIl aura fallu deux ans pour que StĂ©phanie Parsini obtienne gain de cause contre l'hĂŽpital de Neuilly-Courbevoie Hauts-de-Seine.Rappel des faits en 2004, la jeune femme accouche dans l'Ă©tablissement. Trois jours aprĂšs l’intervention -qui s’est pourtant trĂšs bien dĂ©roulĂ©e- elle ne peut plus marcher. Elle multiplie les allers-retours Ă  l’hĂŽpital car elle souffre terriblement. On m'a dit que ce devait ĂȘtre un lumbago’, explique la victime au Parisien Face Ă  l’aggravation de son Ă©tat, elle se rend Ă  l’hĂŽpital LariboisiĂšre Paris oĂč elle subit plusieurs examens. Une biopsie rĂ©vĂšle la prĂ©sence d’une bactĂ©rie Propionibacterium acnes’ qui lui ronge les os pubiens. AprĂšs plusieurs mois de traitements, elle est enfin le tribunal administratif de Versailles Yvelines a condamnĂ© le centre hospitalier Ă  verser 11 000 euros de dommages et intĂ©rĂȘts Ă  la jeune un enfant meurt de dĂ©shydratationAdmis pour une gastro-entĂ©rite, un enfant de 19 mois dĂ©cĂšde Ă  l’hĂŽpital Armand-Trousseau Paris.Rappel des faits l'enfant a Ă©tĂ© hospitalisĂ© le 1er fĂ©vrier 1999 au service de pneumologie de l'hĂŽpital pour une gastro-entĂ©rite aiguĂ«. Il meurt le 10 fĂ©vrier suite Ă  une dĂ©shydratation. En cause, des mĂ©decins pas assez prĂ©sents, un manque de surveillance et des tĂąches confiĂ©es Ă  un personnel moins qualifiĂ© ont Ă©tĂ© invoquĂ©es, selon La huit personnes de l’hĂŽpital et l’Assistance publique ont Ă©tĂ© condamnĂ©s pour homicide involontaire et mise en danger d'autrui. Les peines sont allĂ©es de 4 Ă  6 mois de prison avec sursis et de 1 000 Ă  6 000 euros d'amende pour le personnel. L’AP-HP s’est vu contrainte de payer une amende de 10 000 des brĂ»lures mortelles Ă  cause d’un matelas dĂ©fectueuxA cause d’un matelas chauffant dĂ©fectueux, une femme dĂ©cĂšde Ă  la polyclinique d'Orgemont situĂ©e Ă  Argenteuil Val d'Oise.Rappel des faits en mai 1993, Fatoumata M'Baye ĂągĂ©e de 30 ans est hospitalisĂ©e pour une opĂ©ration bĂ©nigne. En la relevant aprĂšs son rĂ©veil, le personnel s’aperçoit qu’elle est brĂ»lĂ©e au troisiĂšme degrĂ©. Le matelas sur lequel elle reposait Ă©tait dĂ©fectueux. Il n’avait pas de kit de sĂ©curitĂ© obligatoire. La victime est envoyĂ©e Ă  l’hĂŽpital Cochin Paris au service des grands brulĂ©s. Elle y dĂ©cĂšde aprĂšs trois semaines de le tribunal correctionnel de Pontoise a condamnĂ© le PDG de l'Ă©tablissement Ă  9 mois de prison avec sursis. Le mĂ©decin anesthĂ©siste a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  3 mois avec sursis. Le fabriquant du matelas Gamida a Ă©copĂ© de 6 mois avec sursis. Il est le seul Ă  avoir acceptĂ© sa responsabilitĂ© pĂ©nale en ne faisant pas appel de la dĂ©cision, rappelle Le Parisien. Tous trois ont du verser environ 40 000 euros d’indemnisation Ă  la une cĂ©sarienne rĂ©alisĂ©e sans anesthĂ©sieEvĂšnement heureux, l’accouchement peut parfois tourner au cauchemar. Ce fut le cas Ă  l’hĂŽpital de Vitry-le-François Marne en des faits le 10 novembre 2005, une jeune femme arrive dans l'Ă©tablissement pour accoucher. AprĂšs avoir dĂ©tectĂ© un trouble du rythme cardiaque du bĂ©bĂ©, l’équipe soignante dĂ©cide de procĂ©der Ă  une cĂ©sarienne en urgence. MalgrĂ© l’injection d’un produit anesthĂ©siant en dĂ©but d’intervention, la patiente ressent tout. J'ai hurlĂ© de douleur, une douleur que je ne peux pas oublier. J'entends dire alors de l'anesthĂ©siste que je suis douillette. Je lui rĂ©explique que je sens tout,’ a-t-elle expliquĂ© au journal L'Union. Une anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale est immĂ©diatement pratiquĂ©e. TraumatisĂ©e, la patiente est tombĂ©e en dĂ©pression pendant plusieurs le tribunal administratif de ChĂąlons-en-Champagne a condamnĂ© l'hĂŽpital Ă  verser 3 000 euros Ă  la victime, ainsi que 700 et 1 200 euros pour les frais d'expertise et de justice engagĂ©s. En mars 2011, l'anesthĂ©siste mis en cause pratiquait toujours Ă  l'hĂŽpital de noter en avril 2005, une jeune femme a Ă©tĂ© brĂ»lĂ©e aux cuisses avec un bistouri Ă©lectrique, lors de son accouchement Ă  l'hĂŽpital de Saint-Nazaire Loire-Atlantique. L’établissement a dĂ» l’indemniser Ă  hauteur de 4 000 ils diagnostiquent une fracture, elle meurt d’une gangrĂšneLe centre hospitalier de Blois Loir-et-Cher a connu de lourdes affaires ces derniĂšres annĂ©es qui ont entachĂ© son des faits en 2006, une adolescente est admise aux Urgences aprĂšs un trĂšs grave accident de la route. Un scanner dĂ©tecte une fracture du bassin, sans danger,’ selon les mĂ©decins. AprĂšs avoir souffert de douleurs Ă  l’abdomen les jours suivants, la patiente dĂ©cĂšde d’une gangrĂšne de l’ en 2006, un homme arrive Ă  l’hĂŽpital aprĂšs avoir avalĂ© son dentier. On lui administre un laxatif et il rentre chez lui au bout de quelques jours toujours avec son dentier dans le corps. Souffrant de douleurs, le patient revient. Un nouveau scanner diagnostique un abcĂšs du colon et il est opĂ©rĂ© en urgence pour une pĂ©ritonite gĂ©nĂ©ralisĂ©e. Il s’en sort de en 1997, un accouchement dans l’établissement tourne au drame. A cause d’un dĂ©faut d'examen de surveillance et d’une erreur de diagnostic, une jeune femme en bonne santĂ© et ayant eu une grossesse normal se retrouve dans un Ă©tat vĂ©gĂ©tatif et dans un coma pour la premiĂšre affaire, les deux mĂ©decins ont Ă©tĂ© condamnĂ©s Ă  des peines de prison avec sursis de 8 mois et 4 mois. Pour la deuxiĂšme affaire, l'hĂŽpital de Blois a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  verser 129 000 euros au couple. Enfin, pour la jeune femme plongĂ©e dans le coma, l’établissement doit verser 921 000 Ă©tablissements condamnĂ©s pour homicideLe centre hospitalier de MontbĂ©liard Doubs, la clinique de l’Isle Crosne, Essonne et la clinique des Bleuets Reims font partis des Ă©tablissements de santĂ© condamnĂ©s pour homicide des faits le CH de MontbĂ©liard a Ă©tĂ© condamnĂ© en septembre 2011 pour homicide involontaire suite Ă  la chute mortelle d’une de ses femmes de mĂ©nage dans un la clinique des Bleuets, le Dr Jean-Pierre Giolitto est condamnĂ© le 29 juillet 2011 pour homicide involontaire suite au dĂ©cĂšs d’un lycĂ©en venu se faire opĂ©rer en aoĂ»t 2006 d'une dilatation veineuse au testicule, une pathologie bĂ©nigne. AprĂšs l’introduction d’un trocart, il perfore une artĂšre et une veine, entraĂźnant une forte hĂ©morragie. Le praticien tente alors de la stopper avec ses mains, au lieu d’utiliser des pinces spĂ©ciales et d’appeler un confrĂšre opĂ©rant Ă  clinique de l’Isle est, elle, reconnue coupable de graves nĂ©gligences suite au dĂ©cĂšs d’une patiente de 29 ans en 2009. Elle parvient Ă  mettre fin Ă  ses jours en absorbant mĂ©dicaments et alcool alors qu’elle Ă©tait hospitalisĂ©e pour un sevrage en plus d’ĂȘtre condamnĂ© pour homicide involontaire, le CH de MontbĂ©liard doit s’acquitter d’une amende de 10 000 euros. Le Dr Giolitto a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  18 mois de prison avec sursis et 130 000 euros de dommages et intĂ©rĂȘts Ă  verser aux proches de la victime. Il a Ă©galement Ă©copĂ© de 6 mois d'interdiction d'exercer dont quatre avec sursis. Il a fait appel de la dĂ©cision. La clinique de l’Isle a dĂ» verser 6 000 euros d’amende, 7 000 euros au titre de prĂ©judice moral au concubin de la victime et 17 000 euros Ă  chacun des deux enfants du Meaux Ă©pidĂ©mies mortelles de lĂ©gionelloseEn 2002, la lĂ©gionellose se dĂ©veloppe dans deux Ă©tablissements de santĂ© Ă  Sarlat Dordogne et Ă  Meaux Seine-et-Marne.Rappel des faits en juillet 2002, la lĂ©gionellose se dĂ©clare au centre hospitalier Jean-Leclaire de Sarlat et au centre hospitalier de Meaux. En cause, la prolifĂ©ration d’une bactĂ©rie la legionella dans des tours rĂ©frigĂ©rantes. Un homme de 68 ans dĂ©cĂšde et une vingtaine de personnes sont atteintes Ă  Sarlat. 22 personnes sont contaminĂ©es Ă  Meaux, quatre Jacques Romon, directeur de l’établissement de Sarlat au moment des faits, a Ă©copĂ© de 3 mois de prison avec sursis et de 2 000 euros d'amende. Le centre hospitalier a, lui, Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  12 000 euros d'amende. A Meaux, Henri Genty, ancien directeur de l’hĂŽpital, a Ă©galement Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  trois mois de prison avec sursis. L’hĂŽpital a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  verser une amende de 100 000 euros avec Bullion un surdosage mĂ©dicamenteux tue deux personnesUn surdosage mĂ©dicamenteux a coĂ»tĂ© la mort de deux personnes dans les hĂŽpitaux de VendĂŽme Loir-et-Cher et de Bullion Yvelines, dont un des faits le 5 mai 2006, un homme de 83 ans est hospitalisĂ© Ă  l’hĂŽpital de VendĂŽme pour une suspicion d’AVC. L’équipe mĂ©dicale lui prescrit un mĂ©dicament de façon journaliĂšre, alors qu’il doit l’ĂȘtre de façon hebdomadaire. AprĂšs de multiples complications forte fiĂšvre, trouble de l’alimentation, anomalie sanguine
, il dĂ©cĂšde le 26 juin 2006. Cette prescription Ă©tait inadaptĂ©e [
]. Ce surdosage mĂ©dicamenteux a provoquĂ© un syndrome infectieux et des complications cutanĂ©o-muqueuses’, ont expliquĂ© les mĂ©decins experts selon de Blois. A l’hĂŽpital de pĂ©diatrie et de rééducation de Bullion, les faits remontent Ă  2009. Suite Ă  une erreur de dosage d’une perfusion, un bĂ©bĂ© de 6 mois en attente d’une greffe de l’intestin dĂ©cĂšde. Il fallait rĂ©guliĂšrement perfuser l'enfant qui disposait d'un cathĂ©ter. Les deux membres du personnel devaient rĂ©gler la vitesse du dosage mais ont commis une erreur en validant une vitesse trop importante d'Ă©coulement du substitut alimentaire', a expliquĂ© Yannick Gouriou, directeur de l’établissement au quotidien le CH de VendĂŽme a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  verser 26 000 euros aux enfants et Ă  la veuve et 29 250 euros Ă  la CPAM du Loir-et-Cher. Pour le nourrisson dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Bullion, l’enquĂȘte a Ă©tĂ© ouverte en 2009. Aucune condamnation n’a Ă©tĂ© rendue publique Ă  ce psychiatrique de Marseille il s’enfuit et tue Ă  la hache un homme de 80 ansEn 2009, un hĂŽpital psychiatrique de Marseille est condamnĂ© dans une affaire de des faits le 9 mars 2004, JoĂ«l Gaillard, schizophrĂšne tue Ă  la hache Germain Trabuc, un le compagnon de sa grand-mĂšre ĂągĂ© de 83 ans. L’homme internĂ© Ă  l’hĂŽpital Edouard-Toulouse de Marseille depuis 2001 aprĂšs une sĂ©rie d'actes de violence dont une tentative d'assassinat, Ă©tait en fuite depuis le 20 Michel Trabuc, un des fils de la victime, a rĂ©ussi Ă  faire condamner l'hĂŽpital Ă  lui verser 15 000 euros de dommages et hospitalisĂ© pour une angine, un enfant dĂ©cĂšdeHospitalisĂ© pour une angine, un enfant de trois ans dĂ©cĂšde Ă  l’hĂŽpital Saint-Vincent-de-Paul Paris en 2008. L’affaire fait la Une des des faits en dĂ©cembre 2008, une infirmiĂšre administre par erreur du chlorure de magnĂ©sium Ă  un enfant admis en pĂ©diatrie. Il dĂ©cĂšde. DĂšs les premiers moments, l'infirmiĂšre est venue dire Ă  son chef de service qu'il s'agissait d'une erreur,’ avait dĂ©clarĂ© Roselyne Bachelot, alors ministre de la SantĂ© au quotidien A l'origine du drame la confusion entre des flacons de B46, un sĂ©rum glucosĂ©, et des flacons de chlorure de magnĂ©sium, un produit pouvant ĂȘtre l’infirmiĂšre responsable du drame a Ă©tĂ© immĂ©diatement mise en examen pour homicide involontaire. L’AP-HP a Ă©tĂ© mise en examen pour homicide involontaire en novembre le Samu laisse mourir un hommeUn problĂšme d'organisation des services de secours de Bourges Cher coĂ»te la vie d'un homme en des faits le 18 fĂ©vrier 2002, un homme de 40 ans meurt d'une attaque cardiaque Ă  Sancerre Cher. Son fils, ĂągĂ© de 10 ans, a pourtant appelĂ© le Samu du centre hospitalier de Bourges devant le malaise de son pĂšre. Au tĂ©lĂ©phone, le mĂ©decin l'oriente vers un autre praticien de garde dans le secteur. Ce dernier ne rĂ©pond pas. L’homme les deux mĂ©decins ont Ă©tĂ© condamnĂ©s Ă  trois mois de prison avec sursis pour homicide involontaire par violation manifestement dĂ©libĂ©rĂ©e d'une obligation de prudence ou de sĂ©curité’. L’hĂŽpital a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  verser 32 500 elle dĂ©cĂšde d’une hĂ©morragie non diagnostiquĂ©eA Aubergenville Yvelines, une jeune femme dĂ©cĂšde en 2000 d'une hĂ©morragie non des faits en aoĂ»t 2000, Sylvie HoudĂ©, 33 ans, dĂ©cĂšde Ă  la clinique du MontgardĂ© Aubergenville six heures aprĂšs avoir accouchĂ©. 'J'ai assistĂ© le matin Ă  un entretien entre mon Ă©pouse et un mĂ©decin aprĂšs l'accouchement. Elle lui expliquait qu'elle voyait trouble. Ce dernier lui a rĂ©pondu que c'Ă©tait normal,' avait dĂ©clarĂ© le mari de la victime, selon Le Parisien. La jeune femme Ă©tait en train de faire une hĂ©morragie. L'enquĂȘte a rĂ©vĂ©lĂ© qu’il a fallu attendre 1h40 pour trouver une poche de sang. Un dĂ©lai l'anesthĂ©siste et le gynĂ©cologue-obstĂ©tricien obtiennent un non-lieu en 2006. En 2008, la clinique est condamnĂ©e Ă  verser 500 000 euros Ă  la famille de la une erreur de diagnostic fataleAprĂšs un mauvais diagnostic, une patiente dĂ©cĂšde Ă  la clinique de la MisĂ©ricorde de Caen Calvados.Rappel des faits en 2004, une femme souffrant de douleurs au bras gauche et dans la cage thoracique se rend aux Urgences de l'Ă©tablissement. Le mĂ©decin juge l’électrocardiogramme normal et pense Ă  un torticolis. La patiente rentre chez elle avec antalgique et anti-inflammatoire. Elle meurt dans la en 2008, les juges ont estimĂ© qu'il n'y avait pas de lien certain entre la faute du mĂ©decin et le dĂ©cĂšs. En 2009, le mari de la victime a rĂ©clamĂ© une indemnisation du prĂ©judice Ă©conomique et moral. Le tribunal de Paris a conclu que le mĂ©decin urgentiste recevant la femme Ă  la clinique ne lui avait pas procurĂ© les soins conformes aux donnĂ©es de la science qu'il devait dispenser. Il lui a reprochĂ© [
] d'avoir considĂ©rĂ© comme normal un Ă©lectrocardiogramme qui ne l'Ă©tait pas totalement', rappelle Ouest-France. La clinique et son assureur ont Ă©tĂ© condamnĂ©s Ă  verser environ 125 000 euros Ă  la du sport 58 patients contaminĂ©s par une tuberculose osseuseL’affaire de la Clinique du sport Paris est le premier gros scandale des maladies des faits en mars 2010, les Drs Pierre Sagnet, Didier Bornert et Patrick BĂ©raud sont reconnus responsables de la contamination de 58 patients opĂ©rĂ©s des lombaires ou des cervicales entre janvier 1988 et mai 1993. Tous ont dĂ©veloppĂ© une maladie grave s’apparentant Ă  une tuberculose osseuse. En cause, une mauvaise stĂ©rilisation des instruments chirurgicaux et un mauvais rinçage de ces le Dr Sagnet est condamnĂ© Ă  4 ans de prison, dont 18 mois ferme, et 50 000 euros d'amende. Le Dr Bornert a Ă©copĂ© de 2 ans d'emprisonnement, dont 6 mois ferme et 25 000 euros d'amende. Le Dr BĂ©raud est lui condamnĂ© Ă  8 mois de prison avec sursis et 2 000 euros d' noter la Clinique du sport s’appelle dĂ©sormais Centre MĂ©dico Chirurgical Paris de suivi des malades opĂ©rĂ©s 162 hĂŽpitaux Ă©pinglĂ©sLe quotidien L’Express a dressĂ© la liste des Ă©tablissements de santĂ© qui ne suivent pas leurs malades aprĂšs l’opĂ©ration. Une grosse erreur quand on sait que tous les ans, des gens meurent d’infections nosocomiales infections contractĂ©es dans un Ă©tablissement de santĂ©.Voici la liste publiĂ©e en 2009 10 centres hospitaliers de plus de 300 lits Rodez Centre hospitalier 12, Dinan Centre hospitalier 22, PĂ©rigueux Centre hospitalier 24, Auch Centre hospitalier 32, Saint-Malo Centre hospitalier 35, Mont-St-Martin Centre hosp. 54, Bar-le-Duc Centre hospitalier 55, FĂ©camp C. hosp. intercommunal 76, Meulan-Les Mureaux Centre hosp 78, Niort Centre hospitalier G. Renon 79.34 centres hospitaliers de moins de 300 lits Annonay Centre hospitalier et Saint-AgrĂšve HĂŽpital de Moze 07, Castelnaudary C. hosp. Cassabel 11, Vire C. hosp. 14, Mauriac C. hosp. 15, Cognac C. hosp. et Confolens C. hosp. La Bajouderie 16, ChĂątillon-Montbard Centre hosp. 21, Pontarlier Centre hospitalier 25, Gisors C. hosp. 27, Douarnenez C. hosp. et QuimperlĂ© Centre hospitalier 29, Blaye C. hosp. Saint-Nicolas 33, Le Pont-de-Beauvoisin C. hosp. 38, Pithiviers C. hosp. 45, Sarrebourg C. hosp. Saint-Nicolas 57, Clamecy C. hosp. 58, Valenciennes Clinique Teissier 59, L'Aigle C. hosp. 61, Orthez C. hosp. 64, Obernai HĂŽpital civil 67, Paris 11 HĂŽpital des MĂ©tallurgistes 75, Provins Centre hospitalier L. Binet 77, Maisons-Laffitte C. hosp. des Courses 78, Loudun C. hosp. Renaudot 86, Epinal C. hosp. J. Monnet 88, Fresnes Etab. public national de santĂ© 94, Basse-Terre C. hosp. et Grand-Bourg C. hosp. Sainte-Marie Guadeloupe, Saint-Martin C. hosp. de Marigot Saint-Martin, Kourou C. mĂ©dico-chirurgical et St-Laurent C. hosp. ouest Guyane, Mamoudzou C. hosp. Mayotte.44 cliniques de plus de 100 lits St-Quentin Polyclinique Saint-Claude 02, Marseille 10 Clin. RĂ©sidence du Parc 13, Deauville Polyclinique de Deauville 14, L'Isle d'Espagnac Clinique Ste-Marie et Soyaux Centre Clinical 16, Dijon Clinique Sainte-Marthe, Fontaine-lĂšs-Dijon Clinique et Talant Clinique mutualiste B. Joly 21, Brest Clinique Pasteur Saint-Esprit 29, Boujan/Libron Polycl. Saint-Privat et Castelnau-le-Lez Clinique du Parc 34, Cesson-SĂ©vignĂ© Polyclinique SĂ©vignĂ© et Rennes Polyclinique Saint-Laurent 35, St-Jean-de-Braye Polycl. Longues allĂ©es 45, Chaumont Centre mĂ©dico-chirurgical 52, Nancy Polyclinique Majorelle 54, Cosne-Cours/Loire Clin. du Nohain et Nevers Polyclinique du Val de Loire 58, Coudekerque-B. Polyclinique de Flandre, Dunkerque Polyclinique Villette et Villeneuve-d'Ascq Polyclinique 59, Clermont-Ferrand PĂŽle SantĂ©-RĂ©publique 63, Mulhouse Clinique Saint-Sauveur et Saint-Louis Polycl. des Trois frontiĂšres 68, VĂ©nissieux Clinique mutu. La Roseraie 69, Le Mans Clinique du PrĂ©, Le Mans Clinique Sainte-Croix et Le Mans Clin. Les Sources St-CĂŽme 72, Paris 13 Centre Croix-Rouge Peupliers 75, Auxerre Polyclin. Ste-Marguerite 89, Belfort Clinique de la Miotte 90, Athis-Mons HĂŽpital privĂ© site Caron et Evry Centre MCO 91, Bagnolet Clinique de la Dhuys, Bagnolet CMC FlorĂ©al, Livry-Gargan Polyclinique Vauban et Rosny-sous-Bois Clinique Hoffmann 93, Thiais HĂŽpital privĂ© 94, Cormeilles-en-P. Clinique du Parisis et Ermont Clinique C. Bernard 95, Les Abymes Polycl. de Guadeloupe Guadeloupe, Le Port Clinique Jeanne d'Arc, Ste-Clotilde Clin. de Ste-Clotilde et Le Tampon Clinique Durieux RĂ©union.68 cliniques de moins de 100 lits Villers-Semeuse Clinique du Dr Lhoste 08, Lisieux Polyclinique de Lisieux 14, AngoulĂȘme Clinique Saint-Joseph 16, Puilboreau CMC de l'Atlantique, Rochefort Clinique chir. Du Dr Pujos, Saintes Clinique Richelieu, St-Georges-de-Didonne Polyclinique 17, Guingamp Polyclinique Argor-Argoa et Lannion Polyclinique du TrĂ©gor 22, PĂ©rigueux Clinique du Parc 24, MontbĂ©liard Polycl. des Portes du Jura 25, Brest Clinique de Lanroze et Morlaix CMC de la baie de Morlaix 29, Toulouse Clinique du Cours Dillon 31, Bordeaux Clin. St-Antoine-de-Padoue, Bordeaux Clinique Tourny et Bordeaux Polycl. Bordeaux-CaudĂ©ran 33, LodĂšve Clinique Saint-Pierre et SĂšte Polyclinique Sainte-ThĂ©rĂšse 34, Bourgoin-Jal. Clin. St-Vincent-de-Paul et Roussillon Clinique Saint-Charles 38, Aire-sur-l'Adour Polycl. Les ChĂȘnes 40, Gien Polyclinique Jeanne d'Arc 45, Marmande Clinique Magdelaine 47, Vitry-le-François Clin. La Renaissance 51, Saint-Dizier Clinique François Ier 52, Saint-Avold Clinique Saint-Nabor 57, Le Cateau-Cambr. Clin. chir. des HĂȘtres, Somain Clinique chir. ophtalmologique, Tourcoing Clinique du Val de Lys et Villeneuve d'Ascq Clinique Cotteel 59, Flers Clinique Saint-Dominique 61, Issoire Clinique Les Sorbiers 63, Lyon 3 Clinique de la Part-Dieu, Lyon 6 HĂŽpital de la Croix-Rouge, Saint-Priest Polyclinique Pasteuret VĂ©nissieux Polycl. des Minguettes 69, Autun Clinique chirurgicale du Parc et Paray-le-Monial Clinique La Roseraie 71, Paris 7 Clinique de l'Alma, Paris 8 Clinique ElysĂ©e-Montaigne, Paris 12 Clinique du Bien-NaĂźtre, Paris 13 Clinique Jeanne d'Arc, Paris 14 Clinique Sainte-GeneviĂšve, Paris 16 Clinique de la Muette, Paris 16 Clinique Victor-Hugo et Paris 17 Clin. Ste-ThĂ©rĂšse de l'enfant J75, FĂ©camp Clinique de l'Abbaye, Lillebonne Clinique Tous vents, St-Aubin-sur-Scie Clin. Les AubĂ©pines et Yvetot Clinique du Dr ClĂ©ret 76, Aubergenville C. hosp. privĂ© MontgardĂ©, Chatou Centre chirurgical, Mantes-la-Jolie CMC du Mantois, St-Germain-en-Laye Clin. Louis XIV, Versailles Polyclinique Aumont et Versailles Polyclinique La Maye 78, Carmaux Polyclinique Sainte-Barbe 81, Montauban Clin. La Croix-St-Michel et Montauban Clinique du Dr Cave 82, Bourg-la-Reine Clin. Ambroise ParĂ©, Courbevoie Clinique La Montagne et Neuilly/Seine Clin. Sainte-Isabelle 92, Neuilly-sur-Marne Clinique de Neuilly et Noisy-le-Grand Clinique de Noisy 93, Enghien-les-Bains Clin. de Girardin 95, Basse-Terre Clin. St-Pierre Guadeloupe.Deux Ă©tablissements ambulatoires Marconne Clinique Chirurgicale d'Hesdin 62 et Boulogne-Billancourt Institut europĂ©en de chirurgie 92.Nantes un hĂŽpital condamnĂ© pour ne pas avoir dĂ©pistĂ© une trisomie 21Le CHU de Nantes Loire-Atlantique a Ă©tĂ© condamnĂ© aprĂšs la naissance d’un enfant des faits en janvier 1994, un enfant porteur de la trisomie 21 naĂźt dans l'Ă©tablissement. Ce handicap n’a pas Ă©tĂ© dĂ©tectĂ© avant la naissance. Certains examens laissaient prĂ©sager une anomalie, d’autres pas du tout. Les mĂ©decins n’ont pas prĂ©venu la patiente de leurs interrogations et ne lui ont pas proposĂ© de rĂ©aliser une l’hĂŽpital s’est vu contraint de verser une rente de 60 euros par nuit passĂ©e par leur fils handicapĂ© au domicile familial depuis le jour de sa naissance et tout au long de sa vie, ainsi que la somme de 106 000 euros environ Ă  la Caisse des dĂ©pĂŽts et une compresse oubliĂ©e pendant un accouchementUn fait insolite mais qui aurait pu mal tourner pour une jeune des faits en avril 1993, une jeune femme accouche au CHU de Besançon Doubs. L’établissement commet une lourde erreur en oubliant une compresse dans son ventre. Mais aucun praticien ne s’en aperçoit. La victime se plaint de douleurs et de fiĂšvre quelques mois plus tard. Elle subit divers examens au centre hospitalier de Pontarlier Doubs pendant un an mais la compresse reste non identifiĂ©e. C’est en 1998, soit cinq ans plus tard qu’elle est finalement rĂ©vĂ©lĂ©e et le CHU de Besançon a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  verser 7926,63 euros Ă  la plaignante et 8308,18 euros Ă  la CPAM du Jura pour avoir oubliĂ© la compresse. Le centre hospitalier de Pontarlier a dĂ» verser 8725,23 euros au CHU de Besançon pour n’avoir pas dĂ©couvert plus rapidement la compresse. 4C- StĂ©phane LEFEUVRE ˜ Textes : 4C - Le patrimoine des communes de la Sarthe (2000) - Croix archaĂŻques en roussard et Croix de pĂšlerins du Haut Maine - Roger GRIGNON et Pierre DAVOUST (1999) ˜ Impression : Imprimerie Fresnoise (sept. 2016). Avec la PĂŽle Intercommunal participation ïŹ nanciĂšre : 4 rue de Gaucher - BP 11 - 72240 Conlie TĂ©l. : 02 43 52 11 67 - Fax : 5 allĂ©e de la Croix des HĂȘtres, 35700 Rennes Appartement Prix m2 moyen 2 621 € de 1 670 € Ă  3 391 € Indice de confiance Maison Prix m2 moyen 2 688 € de 1 719 € Ă  3 491 € Indice de confiance 5 allĂ©e de la Croix des HĂȘtres, 35700 Rennes Remarque les prix indiquĂ©s ci-dessous sont ceux du quartier environnant Appartement Loyer mensuel/m2 moyen 9,6 € de 7,0 € Ă  16,3 € Indice de confiance Maison Loyer mensuel/m2 moyen 10,6 € de 8,7 € Ă  13,4 € Indice de confiance Le 5 allĂ©e de la Croix des HĂȘtres est rattachĂ© Ă  3 parcelles Section cadastrale N° de parcelle Superficie 000KL01 0165 1 652 mÂČ 000KL01 0168 2 401 mÂČ 000KL01 0167 3 799 mÂČ Ă€ proximitĂ© Rue Antoine Becquerel, Rennes 35700 Consulter le prix de vente, les photos et les caractĂ©ristiques des biens vendus Ă  proximitĂ© du 5 allĂ©e de la Croix des HĂȘtres, 35700 Rennes depuis 2 ans Obtenir les prix de vente En aoĂ»t 2022 Ă  Rennes, le nombre d'acheteurs est supĂ©rieur de 8% au nombre de biens Ă  vendre. Le marchĂ© est dynamique. ConsĂ©quences dans les prochains mois *L'indicateur de Tension ImmobiliĂšre ITI mesure le rapport entre le nombre d'acheteurs et de biens Ă  vendre. L’influence de l’ITI sur les prix peut ĂȘtre modĂ©rĂ©e ou accentuĂ©e par l’évolution des taux d’emprunt immobilier. Quand les taux sont trĂšs bas, les prix peuvent monter malgrĂ© un ITI faible. Quand les taux sont trĂšs Ă©levĂ©s, les prix peuvent baisser malgrĂ© un ITI Ă©levĂ©. 39m2 Pouvoir d’achat immobilier d’un mĂ©nage moyen rĂ©sident 67j DĂ©lai de vente moyen en nombre de jours Par rapport au prix mÂČ moyen allĂ©e de la Croix des HĂȘtres 2 639 €, le mĂštre carrĂ© au N°5 est globalement Ă©quivalent -0,5 %. Il est Ă©galement globalement Ă©quivalent que le prix / mÂČ moyen Ă  Rennes +1,6 %. Par rapport au prix mÂČ moyen pour les maisons Ă  Rennes 3 082 €, le mĂštre carrĂ© au 5 allĂ©e de la Croix des HĂȘtres est plus abordable -12,8 %. Lieu Prix mÂČ moyen 0,5 % moins cher que la rue allĂ©e de la Croix des HĂȘtres 2 639 € / mÂČ 1,6 % plus cher que le quartier Beaulieu / Baud 2 584 € / mÂČ 1,6 % plus cher que Rennes 2 584 € / mÂČ Cette carte ne peut pas s’afficher sur votre navigateur ! Pour voir cette carte, n’hĂ©sitez pas Ă  tĂ©lĂ©charger un navigateur plus rĂ©cent. Chrome et Firefox vous garantiront une expĂ©rience optimale sur notre site. yvhrGH.
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